Alice, s’engage pour les femmes de France

Les mouvements féministes ont le vent en poupe. Selon Alice, jeune auditrice de l’IFP, leurs pseudo figures de proue s’expriment dans les médias « uniquement pour attiser la guerre des sexes et ensuite occuper des postes politiques, jamais pour dénoncer la violence qui vient souvent de populations venues d’autres continents » . Il y a quelques semaines, elle a lancé avec des amies Le collectif Némésis pour « montrer le vrai visage des féministes ».


Deuxième d’une fratrie de trois enfants, Alice est une jeune étudiante de 22 ans originaire de Bretagne. En 2018, elle décide de poursuivre à Paris des études dans le sanitaire et social car elle estime que sa « foi y trouvera du sens ».

Alice est rapidement rattrapée par une réalité de plus en plus fréquente sur notre sol : elle est victime d’intimidations, d’insultes et d’agressions dans les rues parisiennes commises souvent par des hommes étrangers. Elle s’aperçoit que nombre de ses amies rencontrent les mêmes difficultés.

Notre jeune auditrice est remontée : « Ce qui me scandalise c’est l’attitude des féministes chouchous des médias : elles n’osent pas dénoncer les agressions de femmes par des hommes d’origine étrangère ou du bout des lèvres en proposant par exemple d’agrandir les trottoirs comme l’a fait récemment l’ancienne militante de l’Unef Caroline de Haas ».

« La mesure évidente serait d’expulser les étrangers auteurs de viols » propose Alice, « d’autant qu’ils représentent 52 % des mis en cause à Paris en 2014 dans des affaires de viols de majeurs selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales » complète-t-elle.

Pour démontrer cette mascarade et exprimer ce qu’elle vit tous les jours, Alice se rend avec 4 amies le samedi 23 novembre dernier à la Marche NousToutes organisée contre les violences faites aux femmes. Brandissant des pancartes telles que « Schiappa les étrangers violeurs sont toujours là » ou encore « Femmes ≠ frontières violables », le petit groupe se fait immédiatement prendre à partie par la foule avant d’être exclu du cortège. La scène est filmée et sera visionnée par 300 000 internautes. Grâce à cette action, « nous avons pu montrer aux Français le visage des féministes médiatiques qui sont davantage préoccupées par leur carrière politique que par la sécurité des Françaises ».

Elles récidivent le 8 mars dernier à l’occasion de la Manifestation pour les droits des femmes. Alice et ses amies sont une nouvelle fois violemment prises à partie par des militants d’extrême-gauche. Là aussi, la vidéo de cette agression fait un tabac sur les réseaux sociaux (400 000 visionnages). Elles ont réussi à faire connaître cette réalité et à créer le débat dans les médias.

Plus déterminée que jamais, Alice est désormais régulièrement invitée dans les médias (TV Libertés, VL Média, …) pour présenter son mouvement. « Je me suis entraîné à l’IFP avec des journalistes professionnels, ce qui m’a été d’une grande aide pour faire passer mon message »  reconnaît-elle.

Le bilan de cette poignée de jeunes filles souvent formées à l’IFP est remarquable : succès médiatique, développement d’un réseau de jeunes femmes courageuses, débats dans les médias sur l’intolérance des féministes…

Alice prépare d’ores et déjà une action spectaculaire dans les semaines qui viennent mais elle précise malicieusement « ne pas souhaiter en dire davantage pour assurer le succès de son action ». Patience…